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dc.contributor.authorAndersson, Eva
dc.date.accessioned2015-02-19T09:40:36Z
dc.date.available2015-02-19T09:40:36Z
dc.date.issued2015-02-19
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/2077/38306
dc.descriptionThe purpose of this study is to analyse more closely how the English language (source language) has influenced the French language (target language) in the European Commission, or in other words the linguistic interference. French was the dominant working language and drafting language in the EU-institutions for many years. This situation has changed dramatically following the many enlargements of the EU, especially the accession of a large number of Eastern European countries in 2004 and onwards. English has become the established lingua franca of the EU-institutions and in the EU-commission for example almost all legislative text are now drafted in English. Since all EU-legislation has to be translated into all the official languages, including French, it is relevant to examine the effects of translation. Even though the main purpose is to establish objectively, by means of a comparative study, whether there is interference or not for certain selected aspects (for example sentence connectors, sentence length and abstract/concrete) I have also highlighted the effects of interference when it comes to linguistic quality. Since the corpus is very small it is difficult to draw any generalized conclusions. I have therefore limited myself to indicating a few aspects that deserve to be studied more in-depth.sv
dc.description.abstractCe mémoire a pour but d'analyser de plus près l'influence de l'anglais (langue source) sur le français (langue cible) au sein de la Commission européenne, ou, en d'autres termes, l'interférence linguistique de l'anglais. Le français a longtemps tenu une place privilégiée comme langue de travail et langue de rédaction au sein des institutions de l'Union européenne. Cette situation a cependant radicalement changé au cours de ces dernières années, car les élargissements successifs, surtout les adhésions des pays de l'Europe de l'Est à partir de 2004, ont confirmé la prééminence de l’anglais comme lingua franca des institutions européennes. Aujourd'hui presque tous les textes législatifs de la Commission européenne sont rédigés en anglais pour ensuite être traduits dans toutes les autres langues officielles de l'UE, notamment le français. Il est donc justifié d'examiner de plus près les effets de la traduction sur le français. Bien que le but principal soit d'établir de façon objective au moyen d'une analyse contrastive s'il y a interférence ou non au niveau de quelques aspects choisis (connecteurs, longueur de phrase, abstrait/concret par exemple) j'ai aussi cherché à attirer l'attention sur les effets de l'interférence sur la qualité linguistique. Le corpus est beaucoup trop petit pour que l'on puisse en tirer des conclusions générales. Par conséquent j’ai plutôt cherché à indiquer quels aspects méritent d'être étudiés plus en profondeur.sv
dc.language.isofrasv
dc.relation.ispartofseriesSPL kandidatuppstassv
dc.relation.ispartofseriesSPL 2014-116sv
dc.subjectFranskasv
dc.subjecttraductionsv
dc.subjectinterférence linguistiquesv
dc.subjectlangue françaisesv
dc.subjectlangage juridique et administratifsv
dc.subjectUnion européennesv
dc.subjecttranslationsv
dc.subjectlinguistic interferencesv
dc.subjectFrench languagesv
dc.subjectlegal and administrative languagesv
dc.subjectEuropean unionsv
dc.titleLe français au sein des institutions de l'Union européennesv
dc.typeText
dc.setspec.uppsokHumanitiesTheology
dc.type.uppsokM2
dc.contributor.departmentUniversity of Gothenburg/Department of Languages and Literatureseng
dc.contributor.departmentGöteborgs universitet/Institutionen för språk och litteraturerswe
dc.type.degreeStudent essay


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